5 comportements à bannir le jour de son mariage pour éviter un divorce (selon une wedding planneuse américaine)
Le 25 novembre 2025
On en parle
Les mariages ne se brisent jamais sur un détail isolé, mais sur une somme de petites failles. Certains comportements observés le jour même ou pendant les préparatifs seraient même de véritables signaux d’alerte ! Aussi, sans dramatiser, ils méritent d’être entendus... surtout lorsqu’on prépare un événement aussi fondateur que des noces.

Le jour du mariage est un condensé d’émotions, de logistique, de décisions, de compromis… et parfois, de révélations. Ce moment que l’on imagine féerique peut, pour une professionnelle de l’événementiel comme Robin Yarusso, dont les propos sont relayés par Demotivateur , mettre en lumière des attitudes qui en disent long sur le futur du couple.
Ces signaux n’ont rien de magique ni de fataliste. Ils montrent simplement que le mariage est souvent le miroir de la relation : s’il révèle une complicité solide, il peut tout autant exposer des déséquilibres déjà bien installés.
1. Le lancer de gâteau non consenti : un geste “fun” qui n’est pas si innocent
Ainsi apprend-on, dans les propos relayés par Demotivateur, que s’adonner au wedding cake smash. Lancer une part de gâteau au visage du conjoint, sans qu’il l’ait souhaité n’a rien d’un simple gag. Dans les témoignages de la wedding planneuse, ce moment supposé “drôle” déclenche presque systématiquement une gêne palpable et dans la plupart des cas qu’elle a suivis, ces couples n’étaient plus ensemble quelques années plus tard.
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Pourquoi un geste aussi léger peut-il être révélateur ? Parce qu’il trahit souvent un manque de respect, une difficulté à entendre l’autre, ou un humour qui n’est pas partagé. Au cœur d’un mariage, où tout est symbolique, humilier involontairement son partenaire devant ses proches laisse une marque.
Lorsqu’on organise un mariage, que ce soit dans un château, une salle de réception ou un domaine privatisé, c’est un point à garder en tête : le consentement ne concerne pas seulement les grands choix, mais aussi les petites mises en scène du jour-J.
2. Les dépenses secrètes : quand le budget devient un terrain miné
Comme le révèle l’experte américaine, beaucoup de tensions naissent également… des détails financiers - “On ajoute ces fleurs, mais ne le disons pas à Lucas.” Ce genre de phrase, entendue mille fois dans les coulisses d’un mariage, reflète plus qu’un simple dépassement budgétaire.Ici, c’est la confiance financière qui est en jeu.
Un budget de mariage repose sur une planification commune : calendrier de paiement, rétroplanning, services du traiteur, location de salle, DJ, photographe… Dès qu’une partie décide unilatéralement, c’est souvent le signe d’un désalignement profond sur la gestion de l’argent, l’un des premiers motifs de conflit dans le couple.
3. Le poids des parents : quand le couple disparaît derrière le clan familial
La wedding planneuse observe aussi très souvent des mères qui prennent le contrôle de l’organisation, en particulier du côté de la mariée. Et le véritable problème n’est pas l’ingérence en elle-même, mais le fait que le futur époux ou épouse ne réagisse pas. Dans un mariage, l’équilibre entre deux familles est essentiel.
Si, dès les préparatifs, l’un des deux :
- laisse ses parents choisir le menu,
- impose une liste d’invités non discutée,
- ou laisse planer un rapport hiérarchique rigide.
Cela annonce une difficulté à poser les limites, une étape pourtant indispensable à la vie conjugale.
4. Le désengagement total d’un partenaire : quand l’un ne participe à rien
Par ailleurs, le témoignage de l’experte relayée par Demotivateur est clair : les couples où l’un “décroche” de l’organisation sont souvent ceux qui se séparent ensuite.Le cas classique ? Celui ou celle dont “la seule mission était de choisir le DJ”… et qui ne l’a toujours pas fait trois jours avant le mariage.
Ce n’est pas une question d’organisation. C’est une question d’investissement émotionnel. Participer au choix du traiteur, du lieu, du plan de table, des musiques ou des vœux n’est pas anodin : c’est co-construire la fête, et donc la vie à deux.
5. La gestion chaotique du jour-J : tensions, cris, excès… et l’effet “Bridezilla” qui fait fuir
Enfin, toujours selon l’experte américaine, les couples qui traversent leur journée de mariage dans un climat d’énervement permanent sont souvent ceux qui ne tiennent pas sur la durée. Lorsqu’on observe des disputes éclater à propos du timing, du photobooth, d’un retard de traiteur ou d’un discours mal placé, cela ne relève pas seulement du stress : cela révèle souvent des dynamiques déjà fragiles.
À cela s’ajoute un phénomène de plus en plus identifié dans l’événementiel : l’effet Bridezilla (ou Groomzilla). Cela pourrait n’être qu’un détail... mais donner des ordres à tout le monde, hausser la voix ou s’agacer pour un rien, peut mettre une pression considérable non seulement sur le couple, mais aussi sur les proches, les témoins, les prestataires… et même sur la salle de réception.
Ce comportement, né d’un perfectionnisme sincère, peut malheureusement :
- créer des malentendus avec le partenaire,
- provoquer des disputes à des moments clés,
- transformer la moindre imperfection en drame,
- et surtout empêcher de vivre pleinement l’instant.
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