Zoom sur... la robe de mariée de style empire Valentino Garavani qui a permis à Clotilde Courau de dissimuler sa grossesse
Le 22 août 2025
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Le 25 septembre 2003, sous les voûtes solennelles de la basilique Santa Maria degli Angeli à Rome, Clotilde Courau disait “oui” au prince Emmanuel-Philibert de Savoie. Mais derrière l’élégance de sa robe empire signée Valentino Garavani, un secret bien gardé : six mois de grossesse dissimulés avec grâce. Une création sur-mesure, pensée pour conjuguer royauté, féminité et mystère, révélée bien des années plus tard.

Dans le grand théâtre des mariages princiers, certains instants brillent d’une lumière singulière — comme celui où, dans les coulisses feutrées de la vie culturelle, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie croisa le regard de Clotilde Courau. De cette rencontre discrète naquit une histoire d’amour hors du commun, qui, quelques années plus tard, trouva son apogée dans l’un des lieux les plus solennels de Rome, scellant leur union avec éclat et élégance.
Mais derrière cette élégance maîtrisée se cachait un secret intime, révélé bien plus tard l’actrice du film “ Le médecin imaginaire”. Clotilde Courau était enceinte de six mois au moment de dire “oui”. Une grossesse dissimulée avec une grâce souveraine, rendue possible par une robe savamment ajustée, pensée pour épouser les courbes d’une future maman.
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Une cérémonie d’envergure à Rome
La basilique Santa Maria degli Angeli, écrin de marbre et de lumière, servait de décor à cette union célébrée en présence de milliers d’invités et retransmise dans le monde entier. Ses colonnes monumentales, ses fresques imposantes et son atmosphère baignée d’or et de solennité offraient une scène presque théâtrale à ce mariage royal. L’ambiance, à la fois sacrée et mondaine, oscillait entre protocole rigoureux et éclat festif, donnant à chaque instant une intensité particulière.
@deepa0178 Clotilde Courau enceinte et mariée au prince : le secret choc de sa robe Valentino qui a bluffé tous les invités !#ClotildeCourau #EmmanuelPhilibert #peoples #gossip ♬ son original - Deepa
Dans l’allée centrale, les regards se fixaient sur Clotilde Courau, comédienne devenue princesse, avançant d’un pas assuré vers l’autel, guidée par les accords majestueux de l’orgue et les voix des chœurs. L’harmonie entre la grandeur du lieu et la silhouette de la mariée renforçait l’impression d’un conte de fées devenu réalité. Comme si la robe et le décor s’étaient accordés pour créer une image unique, à la fois royale et intime, que la mémoire collective retiendra longtemps.
Vingt-deux ans plus tard, l’histoire d’amour entre Clotilde Courau et Emmanuel-Philibert de Savoie n’a pas résisté aux épreuves du temps. Leur séparation est désormais actée, mais rien n’efface la beauté de ce jour-là : celui où la comédienne, enceinte de six mois, devenait princesse dans une robe savamment ajustée, chef-d’œuvre de subtilité et d’audace.
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La robe empire de Valentino Garavani
Pour ce mariage hors du commun, Clotilde Courau avait confié sa tenue à Valentino Garavani, maître de la haute couture italienne. Le créateur imagina une robe empire en soie blanche, élégante et aérienne, dont la coupe mettait en valeur la silhouette de la future princesse tout en respectant son désir de discrétion.
Enceinte de six mois, la comédienne avait choisi de préserver l’intimité de sa maternité. La ligne empire, ajustée sous la poitrine et fluide sur les hanches, accompagnait avec naturel les courbes d’un corps en transformation. Les manches longues, réalisées dans un voile transparent, se terminaient par de fins nœuds délicatement noués, comme une signature de douceur. Le corsage, sobre et raffiné, laissait toute sa place au drapé du tissu, pensé pour flotter avec grâce à chacun de ses pas.
Le bas de la robe, rehaussé de dentelle ajourée d’une extrême finesse, se déployait dans une ampleur maîtrisée avant de se prolonger en une traîne majestueuse. L’ensemble offrait à la mariée une allure à la fois royale et intemporelle, comme suspendue entre la tradition des grandes noces princières et la modernité d’une femme assumant pleinement sa féminité.
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Les accessoires d’une princesse
Le raffinement de la tenue se révélait aussi dans les accessoires de la mariée, choisis avec une précision presque symbolique. Sur sa tête, Clotilde Courau portait une imposante tiare sertie de diamants, héritée de la tradition princière. Plus qu’un bijou, elle incarnait un signe d’appartenance au gotha, rappelant que la comédienne entrait ce jour-là dans l’histoire de la maison de Savoie. Son éclat, accentué par les lumières de la basilique, conférait à la mariée une allure souveraine.
Les bijoux, choisis dans la même veine, complétaient l’ensemble avec une élégance discrète, sans jamais éclipser la pureté de la robe. Aux pieds, des escarpins en satin blanc apportaient une touche de modernité et de sobriété. Leur simplicité raffinée contrastait subtilement avec la richesse de la tiare, équilibrant l’ensemble et assurant à la mariée une démarche assurée et gracieuse sur les dalles de marbre de la basilique.
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